Pour tirer profit du parc populaire et aérien de la High Line, qui a ouvert durant l’été 2009, Andre Balazs a conçu un design exceptionnel : Il a posé son hôtel de 338 chambres sur d'énormes pilotis de béton pour le faire enjamber le parc et flotter au-dessus. Pour cela, le Standard a reçu les éloges des critiques en architecture, qui s'émerveillent de la façon dont, depuis l'intérieur du bâtiment, on a l’impression de flotter dans les airs.

Le design intérieur est aussi impressionnant que l'architecture. Le mobilier tendance et compact fait référence aux designs du milieu du 20e siècle d'Eero Saarinen. Les salles de bain ouvertes dotées de profondes baignoires ou d'immenses douches à effet pluie, entourées par des panneaux de verre clair au lieu de rideaux de douche, donnent l'impression de se laver au-dessus de l'Hudson. Aux murs, il n'y a pas d'illustrations ou de photos vintage de la ville car ça n'est pas nécessaire : les fenêtres allant du sol au plafond offrent des vues incroyables sur la vraie ville. (Les fenêtres permettent également de voir vers l'intérieur, offrant des situations exhibitionnistes intéressantes.)

Les espaces communs de l'hôtel sont tout aussi attractifs que les chambres. Illuminé par une bande de lumière descendant au milieu de la pièce, le plafond en miroir du hall offre deux perspectives du même espace. Les ascenseurs sont équipés d'un système vidéo représentant le paradis (lorsque l'on grimpe) et l'enfer (lorsque l'on descend).

L’hôtel est aussi un élégant point de départ pour explorer la scène artistique non loin (les galeries de Chelsea et le Whitney Museum of American Art), mais aussi les magnifiques boutiques et la vie nocturne intense du Meatpacking District environnant. En effet, chaque chambre a son dépliant de galeries d'art, des restaurants, des musées et des boites de nuit recommandés. (L'équipe a les compétences pour obtenir des réservations difficiles dans les restaurants, ainsi que des pass pour les boites de nuit privées.)

Les Strandards de Balazs adoptent tous une approche globale du commerce hôtelier, associant d’élégants endroits où dormir, des lieux où manger et passer la soirée, et des passerelles vers l'exploration urbaine. Cette propriété l'emporte sur tous les fronts.

L’emplacement du Standard est unique : Il flotte littéralement sur des piliers de béton au-dessus de la High Line, dans le Meatpacking District, quartier pavé de Manhattan. Ce quartier, composé des pâtés de maisons les plus au nord et à l'ouest du West Village et encadré au nord par Chelsea, abritait autrefois des abattoirs et des usines d'emballage de la viande et, plus récemment, une part disproportionnée des activités sexuelles illégales de la ville. Au cours des dix dernières années, il s’est transformé en une enclave en vogue débordant de clubs vendant de l’alcool à la bouteille, de bistrots et de boutiques de de designer, comme Allsaints, Diane von Furstenberg et Jeffrey.

L'emplacement du Standard est idéal pour explorer les discothèques du quartier (ou découvrir par exemple les DJ du Cielo). En raison du trafic important lié à la vie nocturne, le secteur est sûr pour y flâner mais attendez-vous à ce qu'il soit particulièrement bondé de fêtards tapageurs, et parfois enivrés, les soirs de week-end. Durant la journée, le quartier est bien plus calme, ce qui est parfait pour faire du lèche-vitrine et regarder passer les gens dans la High Line ou l’un des nombreux bistrots et cafés avec terrasses sur le trottoir.

Les lignes de métro les plus proches du Standard sont les L, A, C, et E, à l'angle de la 14e rue et de la 8e avenue, à environ trois pâtés de maisons de l'hôtel.

Le design tendance et ultra-moderne inspiré du milieu du siècle, les fenêtres de mur en mur inondant la pièce de lumière et offrant des vues panoramiques, les lits confortables et les mini-bars gigantesques s’ajoutent pour en faire certaines des chambres les plus extraordinaires de la ville. Elles sont surtout décorées de blanc, et les lattes en bois derrière et au-dessus du lit, ainsi que les touches de bois imitant des rambardes le long du mur leur confèrent une ambiance de cabine de bateau élégante (certaines en ont d’ailleurs la surface).  

Chaque chambre inclut :

• Une salle de bain ouverte : les douches et les baignoires sont séparées du reste de la chambre par des panneaux en verre transparent (certaines chambres possèdent des persiennes, mais pas toutes). Les baigneurs peuvent voir à l'extérieur, les voyeurs à l'intérieur. Heureusement, les toilettes sont situées dans une petite cabine indépendante aux murs opaques.
• Affaires de toilettes Kiss My Face, dont un shampoing et un après-shampoing, du gel douche à la sauge, du bain moussant et une lotion au miel (notez que le shampoing, l’après-shampoing et le gel douche sont fournis dans de grandes pompes murales et non dans des flacons individuels)
• Bien qu'ils ne soient pas aussi phénoménaux que les lits de l'hôtel Gansevoort, les sur-matelas sont enveloppés de draps italiens faits de 300 fils au pouce carré et de couettes 100 % coton.
• Les grands écrans plats HDTV proposent 47 chaînes, dont une chaîne de films gratuite HDNet, des films à la demande et une vaste sélection de divertissements pour adulte à la demande (sérieusement ; ils sont classés par meilleures ventes et récompenses).
• Wi-Fi gratuit
• Large réserve de magazines d'art et de mode (comme V et Paper)
• L'un des mini-bars les plus grands et tentants de la ville : deux placards et un frigo remplis de boissons gazeuses, de snacks et d'alcools, dont une petite et une grande bouteille de Patron.

• Les salles de sport de la plupart des hôtels ressemblent à des donjons sans fenêtre. Pas celle du Standard : Le centre de fitness, ouvert sans interruption, offre d'incroyables vues sur l'Hudson à travers d'énorme fenêtres allant du sol au plafond. La salle de 92 m2 est équipée d’appareils de cardio et de musculation Technogym, ainsi que de poids.
• Il n'y a pas d'espace de travail à proprement parler, mais l'accueil se charge des appels, de la réception des fax et de la location d'ordinateurs portables.
• Le Wi-Fi est aussi disponible gratuitement dans tout l'hôtel et les clients peuvent imprimer gratuitement depuis leur chambre et récupérer leurs impressions à l'accueil.

Le service de chambre agréablement abordable propose quelques plats pour les enfants ; une promenade le long de la High Line est une activité familiale sympa et, oui, l’hôtel prête des poussettes. Mais, vu l'effet de mode, ce n'est vraiment pas un endroit pour les enfants. 

Pas de limite de poids ni de frais pour les animaux de compagnie.

Les célébrités et les gourmets vont dîner dans l’arrière salle du Standard Grill, qui abrite un incroyable sol carrelé de centimes (460 000 pièces ont été utilisées). Le menu regorge d’incontournables à base de viande et de plats saisonniers : faux-filets maturés, côtes de porc et burgers au bacon et cheddar. Mais il faut s’y prendre à l’avance, les réservations pour le même jour étant difficiles à obtenir.

Le service de chambre, disponible en continu, propose une petite sélection de petits-déjeuners basiques (gruau irlandais, granola, bagel et saumon fumé) et des plats principaux pour le dîner (salades, sandwichs et le classique burger du Standard).

Les serveuses arborant des t-shirts aux allures de dirndl déambulent dans le Standard Biergarten, plus informel et ouvert par tous les temps, servant des bières pression géantes, des bretzels immenses et divers types de saucisses, tandis qu’une foule afterwork plutôt décontractée testent les tables de ping-pong gratuites.

Le Standard possèdent plusieurs bars : le Biergarten à l’ambiance décontractée ; le chic (et sélectif) Le Bain, doté d’une piscine avec plongeoir et d’uneterrasse sur le toit ; et le très exclusif Top of the Standard (auparavant connu sous le nom de Boom Boom Room), salon incontournable pour les célébrités, ouvert au public à certains horaires uniquement. Après la fermeture au public, il se transforme en boite réservée aux membres avec une « liste pré-établie ».